Stéphane DesjardinsRédacteur en chef Plusieurs programmes permettent de financer les coopératives qui s’engagent dans un dossier de reprise collective. « Pas besoin d’être millionnaire pour acheter une entreprise en mode collectif. Loin de là ! » commente Maxence Joseph Fontugne, conseiller en transfert d’entreprise au CTEQ. Les organismes d’accompagnement disposent en fait de plusieurs programmes … Lire la suite
Dossier – Financement
La Fondation pour l’éducation à la coopération et à la mutualité tenait sa propre assemblée en parallèle à celle du CQCM, le 13 avril dernier (v. notre édition papier pour un reportage complet). L’organisme a mené lui aussi sa réflexion stratégique ces derniers mois, en vue d’augmenter son rayonnement, notamment auprès des jeunes. L’organisme a … Lire la suite
Rien n’est parfait en ce monde, mais le dossier de l’intercoopération prend du galon partout au Québec, constate Claude-André Guillotte, professeur agrégé et directeur de l’Institut de recherche et d’éducation pour les coopératives et les mutuelles de l’Université de Sherbrooke (IRECUS). L’enseignant et chercheur passionné par l’entrepreneuriat collectif y va de sa propre définition de … Lire la suite
L’annonce a été faite par la ministre déléguée à l’Économie, Lucie Lecours, lors du RDV 2021 coopération + mutualité. L’initiative, évaluée à cinq millions de dollars, est réalisée en partenariat avec le Chantier de l’économie sociale, le Consortium de ressources et d’expertises coopératives, les pôles régionaux d’économie sociale et la Coopérative de développement économique régional du Québec.
Actuellement, une dizaine de campings se sont constitués en mode coopératif au Québec. La formule est particulièrement bien adaptée à la réalité de ce type d’entreprises, avec son lot d’utilisateurs saisonniers. « L’avantage financier pour les membres-utilisateurs est évident avec la formule coop, comparée à celle des campings-condos. Avec cette dernière méthode, les coûts sont 20 fois plus élevés », a expliqué Patrice Blais, directeur régional Bas-Saint- Laurent / Gaspésie-Les-Îles de la Coopérative de développement régional du Québec (CDRQ).
Le Défi Propulsion Desjardins réalisé à l’occasion du RDV 2021 coopération + mutualité est un levier financier pour aider les jeunes et les coopératives de moins de 10 ans d’existence à démarrer leur projet ou propulser leur croissance. Ainsi, grâce à Desjardins et en collaboration avec La Ruche et la Fondation pour l’éducation à la coopération et à la mutualité, le Défi Propulsion Desjardins a propulsé 7 projets coopératifs qui se sont également partagés 29 000 $ en prix.
Actuellement, une dizaine de campings se sont constitués en mode coopératif au Québec. La formule est particulièrement bien adaptée à la réalité de ce type d’entreprises, avec son lot d’utilisateurs saisonniers. « L’avantage financier pour les membres-utilisateurs est évident avec la formule coop, comparée à celle des campings-condos. Avec cette dernière méthode, les coûts sont 20 fois plus élevés », a expliqué Patrice Blais, directeur régional Bas-Saint- Laurent / Gaspésie-Les-Îles de la Coopérative de développement régional du Québec (CDRQ). Ce dernier s’exprimait lors d’une table ronde sur le sujet, qui s’est tenue au RDV 2021.
Actuellement, une dizaine de campings se sont constitués en mode coopératif au Québec. La formule est particulièrement bien adaptée à la réalité de ce type d’entreprises, avec son lot d’utilisateurs saisonniers. « L’avantage financier pour les membres-utilisateurs est évident avec la formule coop, comparée à celle des campings-condos. Avec cette dernière méthode, les coûts sont 20 fois plus élevés », a expliqué Patrice Blais, directeur régional Bas-Saint- Laurent / Gaspésie-Les-Îles de la Coopérative de développement régional du Québec (CDRQ).
Le 21 novembre 2019, la Cour supérieure avalisait le complexe plan de relance préparé par les coopératives des six journaux de GCM, qui devait être soumis aux créanciers à la mi-décembre. Au moment de mettre sous presse, début décembre, cette approbation était considérée comme une formalité, puisque le plus important des créanciers, Investissement Québec, avait déjà indiqué qu’il renonçait à ses prêts totalisant 15 M$. Les autres devront se contenter de se partager la somme symbolique de 250 000 $, alors que les créances s’élèvent à 17 M$…
Les conditions gagnantes sont absentes au Québec pour susciter la création de CTA. Le problème entrave le développement économique du Québec, aggrave celui de certaines régions et contribue au déficit de popularité du modèle coopératif auprès de l’entrepreneuriat.
La démographie complique les choses, car le Québec vit un contexte de rareté historique de main-d’œuvre. De plus, le transfert d’entreprises prend beaucoup d’importance depuis quelques années. Or, les baby-boomers, la génération qui a massivement créé le tissu industriel québécois actuel, passe progressivement à la retraite. D’ici 10 ans, on estime que 70 % des entreprises québécoises vont changer de mains, soit environ 100 000 PME.